"Hip Hop is dead???...Boom Bap Music lives!!!"***
Welcome to all da Hip hop lovers!
Ce blog est consacré au HIP HOP (U.S. le plus souvent),
à celui de l'hexagone et des West indies(au 97.2 entre autres).
Anyway ,quelque soit ton pays , if you do love da real BLACK urban shit dey call Hip Hop, you are my brovaz and sistaz!
Ain't no stoppin' us........Peace!
A tout les connards et connasses qui viennent me dire que le large n'est plus à la mode, des girouettes du système qui se moquaient de mon 501 large en 87 et qui ont fini par acheter n'importe quel pantalon merdique large quand ils ont voulu suivre le style en 90, ils y en a même qui se sont fait karna avec des fûtes de meufs à projection privé (près de Blue jean qui vendait de la sape Hip Hop à l’époque).
Ensuite rebelote , au milieu des années 90, ces même bouffons qui critiquent ma sape, ont essayé de porter un Baggy bien malement pour aller dans les soirées "BigMonkey" de Studio mobil, au "ManicouNight" du Lamentin.
De nouveau , avec la vague Homo et Tecktonik tu t'habilles encore pluss' slim (sans vraiment avoir le bon style que le slim style aurai du te donné si tu savais le porter), tu te la joue 'swagg' comme un bouffon commercial et tu viens à nouveau me casser les couilles?
Respectes un authenticstreet style Black &Urban , ou bien restes dans ton univers d'occidental industriel assimilé du Système ,à consommer Star accademy de la télévision Française ainsi ainsi le loft, et viens pas me faire chier, pour mon style "too Black toostrong " pour toi.
Petite Décidasse à ceux qui ont viré leur Style Hip Hop sans concession au profit du slim style, pour pouvoir être mieux acceptés en soirée, honte à vous!!!!! BigupSalif!!!!!!!
Dans l'article précédant( falsification et résistance) nous avons vu comment l'industrie a dénaturer le terme Hip Hop , en altérant ses codes et ses valeurs pour l'approprier à un public de variété, ignorant tout de la véritable culture Hip Hop. Cela a contraint certains à utilisés des expressions comme «real Hip Hop» ou encore «boom bap music» pour faire allusion a une notion d'authenticité du vrai Hip Hop que l'on retrouve de moins en moins dans le contexte commercial et industriel.
Afin de marquer leurs intégrité face au système, certains activistes du Hip Hop ont eut recours à des manifestations comme le »Hip hop is dead movement» lancer par Nas, ou «Hip hop lives» de KRS1 & Marley marl. L’apparition de blogs tel que :Hip Hop 4 Black unity , ou Blazing Hip Hop 97unity, sont entre autre des réactions d'une communauté révoltée par l'exploitation et le dépouillement de la culture Hip,Hop par l'industrie et les médias.
Boom Bap est une expression des plus caractéristiques du « Hip Hop gloden age», qui à mon sens symbolise bien cette notion d'authenticité .
On se souvient du morceau de KRS1 en 1993 : «The return of the boom bap»
Donner une signification du boom bap n'est pas chose facile (surtout quand on est francophone), y a très peu de définition répertorié sur le net , et souvent c'est en anglais.
Voyons ci-dessous quelques approches :
Boom Bap:
1/ A style of hip hop signified by a hard bass drum and snapping snare that is often EQed to the forefront of the beat.
Some examples include the album "Return of the Boom-bap" by Krs-One, the Duck Down record label. "With a kick, snare, kicks and high hat
Skilled in the trade of that old boom bap" is orginally from A Tribe Called Quest song "We Can Get Down."
The original poster is obviously a new jack attributing it to Apathy, because Tribe is one of the crossover acts that even kids living in the suburbs of Alberta know of.
2/ Boom Bap is the roots of hip hop, it's the real type shit. boom bap refers to the sound of those hardcore drums you find in roots hip hop tracks. " boom bap boom bap boom boom bap ba boom boom bap"
3/ Describes the bass drum pattern in the real, oldschool hip-hop tracks.
«Le Boom Bap pour moi fait référence au soul clap , a ce son que tu obtient en tapant dans tes mains ou sur une table. L’assise rythmique du rap , c’est le beat ... Il y a véritablement une identité " Boom Bap " lié au beat mais aussi à cette manière de sampler, d’utiliser la soul , le jazz , le funk ... Disons que pour moi le Boom Bap va de 1992 à 1998 , en tout cas son age d’or... Mes influences pour «Longevity vol 1.5» sont très Boom Bap originel, ce son «raw». Je voulais retrouver ce son qu’on a oublié aujourd’hui et qui renvoie directement au Golden Age du Hip-Hop, lorsque la créativité et l’originalité étaient une quête. J’ai grandi avec l’esprit éclairé de la Native Tongues. De plus, je suis deNew-York , donc la seule chose que je connaisse, c’est cette ville et la manière dont les new-yorkais ont toujours fait du Hip-Hop. Je suis un pur produit de mon environnement. J’aime ce Boom Bap« raw » aussi bien au niveau de ce que ça raconte que du son, des prods, de la manière dont sonne le beat.»
Les vérités établies ne sont jamais permanentes et le monde est en perpétuel mouvement. Dans le domaine de la science, ce qui est vrai aujourd'hui sera erroné demain. Tout comme dans une langue , au fil du temps et de l'histoire, les mots changent de sens ou disparaissent du langage courant. L'histoire de la race humaine relate souvent les événements ou des peuples (conquérants le plus souvent), se sont approprié la culture les mœurs ou religion d'une autre société(Les romains avec les Grecs par exemple).
Aussi de nombreuses falsifications de l'histoire ont eut lieu pour attribuer à une race ou a une nation, un haut niveau de civilisation, de culture; un degré élevé de connaissances, de philosophie, et de maitrise de la science.
Par exemple, Gutenberg n'a jamais inventé l'imprimerie, se sont les chinois, ou encore les premiers philosophes n'étaient pas les grecs (ce qui est logique car ils y a eut d'autres civilisations avant eux, les égyptiens eux aussi avait des philosophes et maitrisaient les mathématiques).
Un autre exemple plus croustillant: Le Rock 'n Roll (musique comme la danse) était une invention des noirs américains. Les blancs qui maitrisaient tout à l'époque ont gardé le terme, plagié la musique, les artistes de couleurs et l'ont commercialisée entant que musique blanche pour la jeunes population blanche américaine(Elvis PRESLEY, les Beach Boys...). Et quand il ne pouvaient pas plagiés, ils enregistraient les noirs en studio pour des albums dont la pochette représentait des blancs....
Le terme Hip Hop à la base et ce depuis les années 70s représente un ensemble de concepts basés sur plusieurs pôles:
-La culture Afro-Américaine
-La Musique Noire Américaine
-Les danses urbaines
-L'art d'utiliser les platines vinyles(le savoir faire du Dee Jay), appelé aussi ''Deejaying ''
-le Graffiti
-Le Rap
Le Hip Hop dans les années 80s évoquait un aspect festif, mais ne tarda pas à se faire connaître comme l'ambassadeur des revendications et des causes. D'ailleurs , à cet périodes (deuxième moitié des eighties) un fort courant afro centriste et militant de la cause ''black''avait pris le relais du ''Soul power'' (milieu funk).
En traversant l'atlantique pour l'Europe, la notion du Hip Hop est resté relativement intact, s'étant assez bien adapté aux autre communautés.La France était alors le deuxième pays consommateur de rap et r&b, après les U.S.A.Rappelons quand même que se sont essentiellement les noires et les latinos qui ont développé, animé et donné vie a cette culture au ''States''.
A l'aube de l'an 2000, il y a eut beaucoup de remous car certains artistes commençaient a tiré la sonnette d'alarme et trouvaient que le Hip Hop perdait peu a peu son identité.Des lors jusqu'à ce jour, ''l'industrie'' s'est approprié le Hip Hop ou du moins le terme pour en faire quelque chose de ''tendance'', ''fashion'', à la mode, dénué de ses valeurs et de sa particularité.Avec l'aide d'artistes et de producteur Hip Hop corrompus, le ''système a dépeint le Hip Hop puis l'a adapté pour l'octroyer à un autre publique (je ne m'entendrais pas aujourd'hui sur la question de ce ''public'') .Maintenant ont voit apparaître des codes vestimentaires et des façons de danser ou de ''slamer'' qui n'ont pas d'antécédent ni de base culturel Hip Hop, qui ne résulte en rien d'aucune évolution d'une quelconque réalité originaire du mouvement.A coté du style il y a le swagg(sujet d'article future), a coté du flow il y a que dalle, et a la place de ''l'attitude'' on assiste a une absence de charisme conjugué a un maque de personnalité...
Bref devant une tel carence en authenticité, depuis la deuxième moitié des années 90s, on en est arrivé à parler du ''Real Hip Hop''. Des Mcs utilisaient déjà cette expression pour marquer la différence (ou pour faire de l'ego trip).
Le terme R&B , tout comme le Hip Hop sinon plus,est utilisé à tort et à travers et se retrouve pratiquement spoliés dans les médias (surtout français), et dans les rayons chez les disquaires.
Et pour renforcer les amalgames, en France, dans un soit disant souci de dénomination on colle des étiquettes un peu partout sur des styles musicaux ou même sur des styles de danses. C'est ainsi que l'on entant parler de termes newjack, acide jazz, gogo music, et pour la danse house et newstyle. Tout ces noms n'ont pas la même connotations quand ils se retrouvent dans leurs contexte d'origine(c'est dire aux U.S.A.).
Après la notion du ''Real Hip Hop'' ont voit ré-apparaitre le terme ''Boom Bap'', qui fait référence à la musique du ''Hip Hop Golden age''. Ces deux termes sont utilisés par certains pour évoqué une authenticité de la ''Black Urban Culture'' ,qui ''ferait'' défaut à l'expression ''Hip Hop''. D'autre formules plus flexible et moins référencées comme ''Hip Hop 4 Black Unity'' ou ''True Hip Hop'' sont aussi utilisés par des sites ou blogs, le plus souvent anglophone, pour symboliser leurs intégrité .Le ''Hip Hop is dead'' de Nas et ''Hip Hop lives'' de Krs1/Marley marl, sont des réactions, relativement similaire pour redorer le blason Hip Hop.
Le prochain article parlera des origines et de la définition du ''Boom Bap'', et d'ici la comme diraient les Public enemy :'' don't believe da hype!''.
Hip Hop Is Dead est un terme et titre de l'album, inventé par Nas, artiste Hip Hop de New York (2006)
«Le hip-hop est mort parce que nous les artistes n'avons plus le pouvoir, les cartes sont désormais dans les mains des responsables artistiques et non plus des artistes. " (Nas)
"Hip Hop Is Dead" a enthousiasmer les gens en faisant du hip hop" (Nas).
Il a poursuivi en disant que cela a fonctionné, en raison des réactions de la part des artistes tels que Lil Wayne et Kanye West.
Le titre a eu un impact majeur dans le du monde hip-hop, en particulier pour le hip hop du sud, dont les artistes ont été blâmés pour déprécier la qualité de hip-hop avec de la musique crunk et snap. Beaucoup de rappeurs du Sud tels que Ludacris, Trick Daddy, et Big Boi ont attaqué le le titre de l'album de Nas en faisant remarquer qu'il visait le Dirty South.
En réponse, Ludacris portait un T-shirt qui disait: «Hip-Hop n'est pas mort, il vit dans le Sud», durant la cérémonie des BET Hip-Hop Awards en Novembre 2006.
Nas a également une part équitable des supporters comme les rappeurs de New York KRS-One, DMX etGhostface Killah.
Trois ans après «Hip Hop is dead» l'album de Nas , certain s'en plaignent toujours. Une vidéo de Soulja Boy a tourné sur le net où il accusait Nas d'avoir tué le hip-hop avec cette affirmation: "That n#99@ Nas came out sayin' hip-hop is dead...and all them other dudes were like yo, hip-hop is dead! That n#99@ killed ey'body's money!".
Ces dernieres années, la Snap Music a été très critiquée par le mouvement "Hip Hop Is Dead". Le rappeur Ghostface Killah a utilisé le titre "Laffy Taffy" des D4L en symbole du mouvement, dans le titre "The Champ" (extrait de l’album "Fishcale"), il rappe « Y'all stuck on Laffy Taffy/Wonderin': how'd y'all niggas get past me? ». Nas aussi a critiqué le groupe Dem Franchize Boyz sur le titre "Hip Hop Is Dead" (sur l’album du même nom) où il rappe « Oh I think they like me, in my white tee'/You can't ice me, we here for life, B » (par rapport au premier single "In My White Tee" des Dem Franchize Boyz).'Smoke du groupe Field Mob a visé les deux groupes quand on lui a demandé si le Hip Hop était mort. « Bien sûr que le Hip Hop est mort, et je vais vous dire qui l’a tué…D4L et Dem Franchize Boyz».
En reponse à l'appel lancé par Nas en 2006 : "Hip Hop Is Dead", le MC KRS one et le producteur Marley Marl ,deux pilier de la Nation Hip Hop, se sont réconciliés de leurs anciennes querelles qui défrayaient les chroniques Hip Hop de l'époque. Leurs collaboration en 2007 vient du fait qu'ils soientt dégoutés de ce qu'est devenu le Hip Hop ( "MC's Act Like They Don't Know" de Krs1).
Hip-Hop is dead, c'estt un cri de protestation contre tous les faux gangstaz qui ne savent plus qu'écrire sur leurs performances sexuelles, les biatches, le blé, et leurs bagnoles tunées...
"Hip Hop Lives" est un album concept, auxquels adherent de nombreux Mcs. Produit par Marley Marl avec KRS-One au micro il est un rappel à l'ordre, un manifeste de la culture hip-hop, un retour aux vraies valeurs.
KRS-One rappele que: «le hip-hop est une déclaration d'intelligence, et que le hip-hop est un vecteur de la transmission du savoir dans les milieux urbains, et enjoint tous ceux qui l'écoutent et désirent le suivre à arrêter de prêcher la haine et l'ignorance dans leur paroles car elles ne mènent à rien, au profit de l'amour et de la connaissance, qui ouvrent des portes vers de nouveaux horizons et permettront à tous de s'en sortir» (Krs1).
Ce n'est pas pour autant que le hip-hop est vraiment mort. Il survit toujours dans l'underground (et même chez ceux qui sont au plus haut niveau de l'industrie) . Il survit surtout chez ceux qui sont moins médiatisés mais qui refusent de céder au mainstream. Les albums de Skillz, EMC, Guilty Simpson, le "Desire" de Pharaohe Monch," Renaissance" de Q-Tip, ou encore "Untitled" de Nas nous redonnent l'espoir qu'il existe encore des artistes qui ont le souci de mettre de la consistance musicale et lyricale dans leurs albums.
Hip Hop is dead , ainsi que Hip Hop lives sont donc des 'mouvement' venant d'arstistes legendaires du rap, en reaction suite à la derive de l'industrie musicale.
Hip Hop is dead, Long live Hip Hop!!!...
(le Hip Hop est mort, vie le Hip Hop!!!)
O Kwebi, Posté le mercredi 18 août 2010
(Courrier reçu sur mon blog skyrock, que j'ai choisi entant qu''intro pour ma première série d'article)
Mes frères, mes soeurs de la tribu on dira que t'en qu'il y a de la vie il y a de l'espoir.Alors : Haut les coeurs et couilles en bandoulieres. La dernière fois que je suis allé au pays les zoukeurs portaient des baggys et se la jouaient grave bad boyes debi debi tchiiiipp!!! . J'ai aussi vu aussi des soi-disant Hip-Hop agir comme c'est foutu yéyés conceptuels de merde et consors...... Tcha beurk
C'est partout pareil il y a beaucoup trop de caméleons, d'opportunistes du coup tu ne sais pas quoi dire ou quoi penser ils faut que les masques tombent . Plus que les habits, les dresscodes etc etc il y a un fond dans le Hip-Hop, je crois que nous sommes tous coupables car à un moment ou un autres nous l'avons peut-etre oublier ou peut-être nous sommes-nous trouver trop esseulés pour lutter contre le "shitstème". Le truc je crois c'est qu'effectivement nous avons encore pour certains l'esprit bien trop attaché, emprisonné, englué dans la culture d'antan. Il y a une lutte permanente entre l'esprit du nègre marron et celui du nègre à case comme disait notre cher Frantz Fanon. Le système de surcroit en étant omniprésent, omnipressant en rajoute pour troubler encore plus nos esprits imparfaits. Notre matérialisme nous empêche aussi de nous transcender, car sortir du standard "français " c'est perdre pour la plupart du temps une sorte de reconnaissance malsaine qui permet à certains de gratter quelques avantages dont celui d'être bien vu donc bien noté donc d'accéder par conséquent à la poule aux oeufs d'or : un bon travail, une grosse caisse rutilente, un bon logement un confortable salaire bref une reconnaissance dans cette sociéte de merde en tant que consommateur plus qu'avéré.
L'esprit du Hip-Hop est sans limite et inimitable on y trouvle cette force capable de repousser toute limite tout comme celui du Negre Marron qui voulait repousser les limites qu'on lui imposait. Le Hip-Hop c'est synonyme de création , innovation, espoir, joie, partage, justice et action permanente.
C'est l'anti-thèse même de cette société. Ne soyons plus naifs, soyons réalistes et resserrons les liens. Le Hip-Hop n'est pas mort ces bâtards l'ont juste baillonné avec certaines complicités et essayent de nous faire perdre la Foi.
Alors Soldats, "Soldatesses" plus on les emmerdera en étant nous-même plus on risque de faire bouger les choses plus on construira notre monde et notre mode (je veux dire manière de fonctionner propre) plus on repoussera les limites de ce "shitstème" qui détruit et veux effrayer .
N'ayons plus peur de qui et de quoique ce soit structurons-nous et faisons ça sans perdre la Foi.
T'as envi d'un baggy mets ton baggy. T'as envi qu'ils soit fluo, qu'il soit fluo. Et tes cheveux en dread locks, en nappy afro ou crane rasé Go so my Brethen Go so. Mais une seule et unique chose ne soit pas un branleur qui s'abritent et vampirise le Hip-Hop pour tes besoins personnels seeeeeeeeen !!!!!!!!.
Le Hip-Hop c'est création et mouvement pas inertie du mouvement.
Peace my Brethens
Spécial dédicaces à Faz Kee, Vince et tous mes frères et soeurs de la planète Hip-Hop.
Fut un temps où les MCs prennaient le mic pour des revendications, politiques ou non, utilisant leur art pour conscientiser et «éduquer» la comunauté. Cela est toujours d'actualité... seulement aujourd'hui, il a une telle surmédiatisation du rap Bling Bling et sans fond particulier qu'on en vient a oublier cet aspect du rap.Beaucoup de gens pensent que le rap, c'est porter des chaines en platine et balancer des lyrics explcites et harcord. Cet article a donc pour but , de rapeler a certain (qui ont du coup, «perdu la foi») qu'ils y a tojuours des militants et des artistes engagés , connues ou moins connus ,qui poursuivent dans cet voie.
Cela a toujours existé, que ce soit du temps de Public Enemy, Dead Prez, KRS-One, ou de nos jours avec des rappeurs comme Mos Def, Immortal Technique, Talib Kweli ou Common. Le rap militant a traversé le temps, mais semble beaucoup moins mis en avant. Le rap est pour certains le meilleurs moyen pour delivrer certains messages à une jeunesse , et pour ça, de mutiples thèmes son abordés.
Certains morceaux parlent de la violence,des proches disparus, d'autre parlent de la précarité, de la réalité de «la rue»... Aussi ils y en a d'autres qui traitent de causes encore plus generales, et qui touchent un public plus large et pas necessairement des adeptes du rap; violence conjuguale, des femmes battues, prostitution ou d'autre problemes dans la societé... Des artistes comme Brother Ali, Common, Talib Kweli, Black Thought ont toujours montré leurs engagements à travers leurs textes, et beaucoup d'autres artistes, undergrounds moins (ou peu) connus, n'hésitent pas à le faire...
L'exageration mediatique du rap Bling Bling essais d'ettouffer la richesse de notre culture, et ceux qui ne sont pas suffisament intègre avec le hip hop vis à vis d'eux meme se sont laisser encore une fois influencé par le système.
En effet, il y eus un moment ou les médias muselleraient le mouvement hip hop et son absence dans les progammes telé pouvait en temoigner (surtout en france).
Le hip hop redevient alors underground, et ceux qui avait étés atteint par sa force ont continué, même si ils étaient moins nombreux.D'ailleurs ils n'avaient plus le choix car cela faisait desormais partie de leurs êtres. A cet époque tout ce qui tournait autour du «hip hop» était fait par les acteurs et artistes hip hop, pour la comunaué hip hop , et le réseaux se consolodait de plus en plus.
Grace à ce context les choses étaient authentiques , puisqu'ils n'y avait plus cette polution mediatique d'un système visant a exploiter le mouvement en essayant de le transformer en phenomene de mode.
Malgrés certaine temtatives ,surtout au niveau de la variété (milli vanilli , vanilla ice …) le hip hop ne perd pas son credit et surtout n'est pas corrompu et fini par s'imposer dans les années 90 (golden years of the hip hop).
A ce moment la, au etats unis les afro-americains ont develleloppé leurs 'buisness' autour d'une culture qu'ils connaissent, du coup la machine industriele mise en place ne change pas le concepte de base car il est fait par des collectifs dont la culture est le hip hop.
On assiste alors depuis les u.s.a. puis en France à un retour en force des expressions artistiques urbaines et à une déferlance de vrai MCs ,anciens comme nouveaux:
Wu tang clan (o.d.b. ,methodman,rza,genius,reakweon...) def squad crew d'Erick Sermon (Redman , Keith murray …) , les blackstars (Talib kweli , Mos Def) ,Ice cube , dj Quick , Dr dré, korupt...j'en passe et des meilleurs...
Comme à toutes les époques le Gangsta rap et le dirty rap (contenu sexuellement explicit), sont un créneau pour augmenter les recettes, mais les tendances de l'underground et du «real hip hop»,sont à l'honneur dans les clips(das efx ,gangstarr...) sans pour autant oublier la dimension festive du rap.
Pour ma part, la societe Bet (black entertairment television) a contribué beaucoup a l'essor de la musique rap , r&b et jazz soul.
Au jour d'aujourd'hui le hip hop est devenu une machine économique très lucrative , à tel, point que beaucoup d'opotunistes choisissent d'intégrer le système.
On observe alors deux gategories:
D'une part ceux qui n'y connaissenent strictement rien ,ou pas grand chose ,qui mettent en avant les clichés abrutissants et reducteurs de cette culture afin de toucher un public de variétés.
Ensuite ils y a ceux qui savent , ceux qui ont aimé et vécu dans le milieu rap/r&b.Ces derniers, profitant de la popularité de cette musique et de leurs notorités au sein du mouvement, proposent sciemment un produit derivé ,à peine ressemblant à ce qu'ils considèrent eux même comme des references dans le domaine.
Ceux la sont de la pire especes, car ils n'hesite pas a corrompre leurs integrités pour avoir encore plus d'argent qu'ils n'en gagnait déjà à l'époque ( je parle des années 90 ,de l'avènement du hip hop).
Au lieu de continuer d'agir pour conserver et rééquilibrer l'image et l'identité du hip hop, ils préfèrent surenchérir sur la vague industrielle en renforcant les stéréotypes ou en créant des styles musicaux plus comerciaux les uns que les autres ,pour une audiance habituée à consommer n'importe qoi, et elle est très vaste.
Plus on dénature une chose , moins elle a de critères et elle est moins spécifique.Du coup elle est plus facilement adaptable, plus générale, mais plus superficielle, moins colorée. Les valeurs qui faisaient sa particularité ont changées , diminuées ou pratiquement disparues car elles ne correspondent pas a ce nouvel environement plus large et moins singulier.
L'industrie a recupéré le therme hip hop ainssi que sa popularité pour l'attribuer à un concept decalés , un pseudo rap hybride non conforme à l'originale , pour l'imposer à une «clientel» plus que variées.
La comunauté hip hop quand à elle se voit a nouveau laissée pour compte sauf que maintenant , au lieu de lutté contre un musellement médiatique, ou un vide promotionnelle comme à l'époque; ils doivent redoubler d'effort pour conserver leurs statut d'authenticité face aux multiples fleaux anti-culture hip hop qui sévissent maintenant depuis déjà un moment.
Tout ce qui fait les vrais valeurs du rap ,le militantisme, les revendication, l'éducation, sont toujours d'actualité mais sont ettouffés par le comercial «rap bling bling».
Si vous êtes vraiment hip hop et que vous avez la chance de baigner dan un réseau de gens ou l'authenticité ne fait pas défaut ,alors vous êtes au courant et pouvez toujours choisir et suivre les artistes et les activistes qui représentent au mieux les valeurs et les notions de la' hip hop nation' (jusqu'à son prochain avènement!!!).
A tous les "pratiquants" de "danses hip hop" , qui n'ont que de la technique , qui ne font que des effets à sensations, qui n'ont pas le"groove", ni même le flow, et qui pense qu'ils sont des danseurs parce qu'ils savent faire un thomas' , le "robot" ou qui savent bloquer (savoir bloquer ne veut pas dire que tu sais danser le 'body popin' ou le 'boogaloo')...
Cette danse c'est du 'Jazz rock' ou encore 'jazz funk' (selon le style musical), c'est la quintessence des danses urbaines black, une discipline ou il est nécessaire d'avoir une sensibilité musicale, du flow, du style, du "feeling" et une affinité avec la culture musicale à laquelle est liée cette danse...
Toute ces choses, on a du mal à les retrouvées dans des battles (pas tous les battles quand même), ou dans d'autres manifestations, car malheureusement , beaucoup de danseurs ne sont que des "putains", de cette industrie qu'a généré le Hip hop et le système"...
Les danses urbaines sont de plus en plus pratiquées par des gens, qui ne sont pas impliqués réelement dans la culture hip hop.
Ils se sont approprié des techniques et des mouvements( que certains ma fois maitrisent de façons époustouflante, à la limite du réel...), et évolue de manière presque automatisée.Ils sont sur le rythme (ils ne manquait plus qu'ils ne le soient pas) et pensent que cela est suffisant pour ce que l'ont appel la musicalité...
Bref on assistent aujourd'hui à des danseurs, plus axés sur le spectaculaire (à vrai dire ils n'ont guerre le choix...) que l'artistique , et ceci aux détriment de cette sensibilité, cette approche de la musique en "symbiose" avec la gestuelle du danseur, qui ne peut être appréciée entierement que par ceux qui aiment, qui comprennent et qui ressentent cette musique.
Et quand je dits musique on s'est compris...
Le grand public, le profane (tout dépend du pays...), celui qui ne comprend pas spécialement les émotions véhiculées par l'expression corporel et surtout une musique qu'il n'intègre pas (ou peu), cette assistance ne perçoit que l'aspect spectaculaire de la chose.
En règle générale, si vous vous trouvés devant une audience n'ayant pas les pré-requis culturels d'une activité , ou si les circonstances qui ont amené ce public vers "la-dite" activité n'ont pas éveillé sa réceptivité , ce public ne retiendra que des brides et des éléments sans réels profondeurs de cet art , il n'apprécient pas ce qu'il voit à sa juste valeur...
En ce qui concerne le Hip hop , i l(le public) ne s'en tient qu' au spectaculaire , aux effest de sensations (head spin , moonwalk...)
Un mec peu très bien tourner sur la tète, savoir faire un moonwalk, et ne pas être un danseur du tout, d'ailleurs, avec ou sans musique les deux mouvements sont appréciables. Combien de piètres danseurs ont tenu en haleine des spectateurs rien que parce qu'ils savaient faire de super sauts altos, cheval d'arsaut ,ou autre "acrobatie"...
Dans notre pays (972), les gens ne s'intéressent pas à l'art , qu'il soit populaire ou non.
Les danseurs sont relativement perçus comme des clowns ou des amuseurs acrobatiques juste bon à les distraire ou à amuser la galerie, il ne paieront jamais un billet, aller on dira... 25 euros pour voir de la danse hip hop.Quand toute fois ils assiste à une manif ', ils retiennent souvent des faits qui n'ont rien a voir avec l'évènement.Ex: les provocations entre danseurs , les "mises à la fèt' " ......
En tous cas la video qui nous interesse en ce moment est un exemple de de ce qu'est un danseur (j'avoue, j'ai mis la barre haute car celui là, pour moi c'est le top du top...et encore là on a rien vu ,il danse de tout...)
Mesdames & messieurs , voici the master DOMINIQUE LESDEMA, in full effect!!!!!!!!!!!!!!!!!